TOUT EST DIT

TOUT EST DIT
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jeudi 27 novembre 2008

L'AUTOSATISFACTION D'UN MÉDIOCRE.

Michel Drucker a récemment connu un beau succès de librairie en publiant son autobiographie, intitulée Mais qu'est-ce qu'on va faire de toi ? L'histoire d'un gamin qui rêve de télé malgré un milieu familial à mille lieues du show-biz, et qui va devenir une figure incontournable du PAF.
Selon les informations du Parisien, l'animateur travaille à l'adaptation en documentaire de son livre. Celui-ci devrait être diffusé sur France 3, avant la fin de l'année ou début 2009.

vendredi 21 novembre 2008

Bayrou: "mon vote a été détourné"

Le président du MoDem François Bayrou "dément absolument" avoir approuvé le projet de budget Sécu pour 2009, qui comporte une disposition permettant un départ à la retraite jusqu'à 70 ans, alors qu'il a été comptabilisé dans les votes "pour".

"J'ai appris aujourd'hui avec stupéfaction que mon vote, lors du débat sur le PLFSS incluant la possibilité de départ à la retraite à 70 ans aurait été détourné, alors que je n'étais pas présent à l'Assemblée nationale au moment de ce vote", a expliqué le député des Pyrénées-Atlantiques.

"Je participais au Foro de Biarritz, une rencontre de responsables politiques d'Amérique latine et d'Europe sur les conséquences de la crise financière", un engagement "pris de longue date", a-t-il encore déclaré.

"Je n'ai donc pas pu être présent pour ce scrutin public dans l'hémicycle", a ajouté M. Bayrou, qui affirme ne pas avoir donné de délégation pour ce vote.

"De deux choses l'une, ou bien c'est une erreur humaine difficilement compréhensible ou bien c'est une malveillance, auquel cas j'envisage de porter plainte", a-t-il déclaré.

"Toutes les séances sont filmées j'espère donc que l'on pourra précisément établir les circonstances" de ce vote, a-t-il conclu, affirmant qu'une enquête interne à l'Assemblée est en cours.

Interrogés par l'AFP, les services de l'Assemblée ont précisé qu'il n'y avait que deux possibilités pour expliquer que M. Bayrou apparaisse, bien qu'absent, comme ayant voté pour le texte. "Soit il a donné délégation à quelqu'un, soit quelqu'un a voté à sa place sans y être autorisé, ce qui est techniquement possible".

En ne donnant pas de délégation de vote, M. Bayrou ne pouvait, en tout état de cause, pas voter contre le texte.

CET HOMME N'ARRÈTE PAS DE SE DÉCRÉDIBILISER. QU'IL ARRÉTE DONC DE FAIRE DE LA POLITIQUE.
CE SERAIT UNE MERDE EN MOINS DANS LE PAYSAGE.

jeudi 20 novembre 2008

Darcos : "Il y a à l'Éducation nationale une culture de la grève"#

"Toutes les communes de droite y arrivent et certaines communes de gauche disent qu'elles n'y arrivent pas ? Tout ça est une blague !" Xavier Darcos n'a pas mâché ses mots, jeudi matin, au moment de s'exprimer sur la forte mobilisation des enseignants du primaire et du secondaire prévue aujourd'hui . Le ministre de l'Éducation nationale a dénoncé sur RTL l'instrumentalisation que les "mairies de gauche" faisaient, selon lui, du service minimum. "C'est une question politique", a-t-il lâché. Passablement courroucé, il a critiqué la "double peine" pour les parents qui vont devoir faire face à la fermeture de l'école de leur(s) enfant(s) en se retrouvant du coup en "congés forcés"."C'est une grève importante", a toutefois reconnu le locataire de la rue de Grenelle, qui s'est offusqué du nombre de mouvements qui paralysent l'Éducation nationale. "Au XXIe siècle, nous avons déjà eu 33 grèves, cela fait quatre par an. Vous connaissez beaucoup de professions qui en font quatre par an ? Il y a dans ce ministère une culture de la grève qui nous empêche de débattre de la réalité qui concerne les élèves", s'est emporté Xavier Darcos.

"L'école avance plus vite que les cortèges"

Versant dans la provocation métaphorique, il a rappelé à ceux qui descendront dans la rue pour battre le pavé que "le monde, la France, et l'école avancent plus vite que les cortèges". "Combien de fois a-t-on entendu les mêmes slogans depuis une trentaine d'années ?", s'est-il demandé, visiblement lassé par les formules. "Organiser de manière aussi systématique et si répétitive comme réponse aux problèmes de l'école des protestations, des refus, c'est une manière d'aborder les problèmes démodée", s'est-il agacé. Il a prédit qu'il y aurait "moins d'un gréviste sur 2 dans le second degré".

Plus encore, l'ancien maire de Périgueux a estimé que "la résistance des cadres syndicaux est la preuve que ce que nous faisons est efficace." Une remarque qui ira droit au coeur des intéressés... "Les professeurs méritent mieux que d'avoir des syndicats dont la fonction principale est d'organiser la résistance au changement comme si rien ne changeait autour de nous", a martelé un Xavier Darcos remonté. "On va dépenser 410 millions d'euros pour les enseignants en 2008. Ce ne sont pas des mesurettes. Ce n'est pas être plus nombreux qui compte, mais être plus efficace. Les suppressions de postes se poursuivront", a-t-il assuré. Le message a été passé.

vendredi 14 novembre 2008

Jean-Michel Aphatie : Bonjour, Christine Lagarde.


Christine Lagarde : Bonjour.


Au premier trimestre 2008, la Croissance a augmenté en France de 0,5 %. Elle a reculé au deuxième trimestre de 0,3 %. Qu'en a-t-il été au troisième trimestre, Christine Lagarde ?

Ecoutez, le chiffre est étonnant puisque chacun s'attendait à un chiffre négatif et chacun se préparait à débattre sur la récession puisque la récession c'est techniquement deux trimestres successifs négatifs, eh bien la France contrairement à l'Allemagne qui a fait -0,5%, contrairement à la Grande-Bretagne qui a fait -0,5%, la France fait +0,14%.

Donc, c'est une très bonne nouvelle par rapport au climat qui n'est pas bon ailleurs ?

C'est une bonne nouvelle et cela signifie que la France n'est pas techniquement en récession.

0,14 % d'augmentation de la production industrielle en France. Comment vous expliquez cette différence, ou ce maintien relatif de la France, par rapport aux économies qui nous environnent ?

J'ai amené mes chiffres pour RTL parce que je veux vous les commenter dans le détail. Ce dont on s'aperçoit, c'est qu'au troisième trimestre : importations - exportations se sont à peu près équilibrées. Donc, ce n'est pas là qu'on a de la croissance. Ce n'est pas là non plus qu'on a de la décroissance, si j'ose dire, puisque souvent c'est ce poste-là qui nous pénalise un peu.

Alors si on regarde, en revanche, dans le détail, on s'aperçoit que la consommation a tenu. Elle a fait un petit mieux qu'au deuxième trimestre. En revanche, les investissements des entreprises là ont été bien meilleures qu'au deuxième trimestre. On avait en investissements des entreprises -1 point au deuxième trimestre, et là on a +0,3%.

Donc, consommation et investissement des entreprises sont les deux moteurs qui au troisième trimestre, ont tiré la France au-delà de l'Allemagne, au-delà de la Grande-Bretagne ; et moi j'y vois une explication parce qu'on est à conditions économiques équivalentes avec l'Allemagne, par exemple, je crois quand même que la politique du gouvernement, celle que nous menons depuis des mois maintenant est en train de produire des effets.

Donc 0,14% d'augmentation de la croissance en France au troisième trimestre, c'est ce que vous nous annoncez sur RTL, Christine Lagarde, ce matin. Malgré tout, beaucoup de secteurs connaissent des difficultés. On parle beaucoup partout de l'automobile. Les Américains sont décidés à aider leur industrie automobile. Le journal "La Tribune", hier, notait que Renault avait réduit sa production en France de 22%. Donc, les problèmes sont immenses. Le gouvernement va-t-il aider les constructeurs automobiles français à traverser la mauvaise passe que nous connaissons, Christine Lagarde ?

Oui. Oui. D'abord un mot sur la filière automobile. C'est la filière automobile en France, en Europe et dans le monde entier, pour plusieurs raisons, pour des raisons qui tiennent d'abord au changement de technologie. On est à un point de passage entre les automobiles d'aujourd'hui mais surtout d'hier, et puis des véhicules nouveaux qui probablement fonctionneront avec des énergies nouvelles, avec des mixes énergétiques et sur lesquelles on est en attente. Donc très clairement, les constructeurs sont dans une phase de transition. Les consommateurs, eux, sont un peu rétifs à l'achat pour deux raisons.
- D'abord, parce qu'ils s'interrogent sur l'opportunité ou non de changer de véhicule.
- Et puis, parce que bien souvent, les véhicules on les achète avec un crédit.

Et aujourd'hui, les établissements de crédit - c'est particulièrement vrai aux Etats-Unis, ça l'est un peu moins en Europe - les établissements de crédit automobile sont le pied sur la pédale de frein, et ne prêtent absolument pas. Donc, le gouvernement veut soutenir cette filière, c'est évident. Moi j'ai signé en juillet dernier un accord avec les constructeurs automobiles dans lequel l'Etat met 150 millions d'euros ; et on demande aux constructeurs automobiles d'investir dans l'avenir, et surtout de préparer leurs salariés à ces transitions. Ca, c'est le premier point. Et il faut absolument continuer.

Continuer ? Ca veut dire qu'un autre plan pourrait être annoncé bientôt, Christine Lagarde ?

Il faut soutenir l'évolution dans ce marché automobile en participant à la formation des salariés, ceux qui évidemment poursuivront leur activité professionnelle et qui ont l'âge pour le faire. Et puis, il faut soutenir la filière par des moyens très forts incitatifs au plan de la Recherche et du Développement parce qu'il faut que nos constructeurs automobiles français qui sont de grands constructeurs, qui ont une vraie technicité et un grand savoir-faire, eh bien il faut qu'ils puissent absolument être novateurs et qu'ils s'inscrivent comme des leaders dans le secteur automobile de demain. Donc ça, ce sont des plans lourds, forts, en Recherche et Développement.

Les observateurs notent aussi que le prix du pétrole brut a chuté de 60% ces dernières semaines ; et les associations de consommateurs, en regard, disent que l'essence ne baisse à la pompe que de 20%. Vous convenez de cette différence ? Il y a un problème ? Et qui est responsable de cette situation, Christine Lagarde ?

Ce n'est pas un problème ; il y a forcément un écart entre la baisse du prix du baril coté sur les marchés internationaux et en dollars et le prix à la pompe. Pourquoi ? Parce que tout simplement on ne paie pas notre plein d'essence ou le plein de la cuve de fioul en dollars. On le paie en euros. Or, l'euro a perdu à peu près 20% par rapport au dollar. Ca, c'est la première raison. La deuxième raison, c'est qu'on a un paquet de taxes sur le prix de l'énergie, qu'il s'agisse de la TVA ou de la TIPP - c'est la Taxe Intérieure sur les Produits Pétroliers -, qui vient amortir la baisse et qui vient amortir la hausse. Quand le prix du pétrole a pris 100%, les prix à la pompe n'ont pas pris 100%. On a exactement le même mécanisme qui s'applique en cas de baisse. Mais ! J'avais demandé aux producteurs et aux distributeurs de respecter d'une part les baisses au jour le jour, et de lisser les hausses. Or, on suit cet indicateur toutes les semaines.

Mais ils jouent le jeu ou pas ?

Je vais regarder tout à l'heure...

Le Président de la République avait l'air en colère ces derniers jours. Il avait convoqué, nous a-t-on dit, à la fois le président de Total, les distributeurs... Vous avez une tonalité différente, ce matin, Christine Lagarde ?

Mais j'espère... De toute façon, moi je suis ça toutes les semaines. J'ai un indicateur et l'ensemble des chiffres qui remonte toutes les semaines ; et puis, je vois les distributeurs régulièrement et c'est très bien s'ils sont vus au plus haut niveau. Tout ça, pourquoi ? Pour simplement mettre de la pression parce qu'il est assez agréable et naturel de s'habituer à un prix de l'énergie peu cher. Ce qui pose toute une série de problèmes sur le plan d'ailleurs de l'environnement. Mais il faut, chaque fois, rappeler les engagements qui ont été pris ; et il faut absolument que les producteurs répercutent les baisses pour que les consommateurs en profitent, pour que nous en profitions tous.

Les banques françaises jouent-elles le jeu du crédit, Christine Lagarde, aujourd'hui ?

Les banques françaises ont pris des engagements. Elles ont pris des engagements parce que l'Etat français a engagé sa garantie pour :
1- emprunter sur le marché et prêter aux banques puisqu'aujourd'hui, ceux qui ont de la disponibilité, de la liquidité sur les marchés, ne font confiance qu'à la signature de l'Etat. En contrepartie, d'une part l'Etat va encaisser des intérêts ; d'autre part, va facturer le prix de sa garantie. Et puis nous avons demandé deux catégories d'engagement :
2 - augmenter l'encours de Crédit d'au moins 3%, pour certaines banques 4%...

... Elles le font ?

... Et d'autre part, des engagements éthiques.

Elles jouent le jeu ? Elles prêtent de l'argent ou pas ?

Je vais le savoir, je vais le savoir à la fin du mois de novembre parce que je vais publier, tous les mois, un indicateur qui sera mon baromètre du Crédit et ça indiquera catégorie de crédits par catégorie de crédits, bénéficiaire par bénéficiaire, c'est-à-dire les ménages, les entreprises, etc., si oui ou non, les banques tiennent leurs engagements. Si elles ne les tiennent pas, à ce moment-là, on prendra évidemment des mesures qui consisteront tout simplement à réduire le disponible qui est mis à disposition.

Christine Lagarde. Elle sera demain à Washington pour le G 20, et elle est venue annoncer, ce matin, sur RTL une bonne nouvelle, si on peut dire : la production France a augmenté alors qu'on attendait qu'elle baisse. Bonne journée. Merci.

Bayrou refuse d'être "instrumentalisé" par les socialistes lors de leur congrès

Le président du Modem François Bayrou a refusé jeudi à Nîmes d'être "instrumentalisé dans le congrès du PS", alors que la question des alliances avec le Modem a resurgi au Parti socialiste à l'occasion de la préparation de son congrès.

M. Bayrou, interrogé sur la préparation du congrès du PS et sur place que tient la question des alliances, a fait le constat que le Modem était "pris comme prétexte par les uns et par les autres".
"Mais moi, je ne veux pas être instrumentalisé dans le congrès du PS. Donc, je me garde bien de faire la moindre déclaration sur ce sujet", a déclaré François Bayrou à l'AFP, quelques instants avant de tenir une réunion publique à Nîmes.

"Je me suis fixé une règle: de ne pas commenter ce qui se passe au PS", a dit M. Bayrou. "Ce qu'on voit bien, c'est l'affrontement de deux conceptions (au PS): ceux qui veulent que le PS en reste à ce qu'il était le siècle dernier, et ceux qui voient qu'il va bien falloir faire bouger les lignes", a-t-il dit.

Le vote des motions socialistes qui a donné l'avantage à Ségolène Royal dans la course pour la direction du parti socialiste, a fait resurgir l'hypothèse d'une alliance du PS avec le leader centriste, pour une éventuelle alternance en 2012.

"Vous voyez bien que l'existence d'un Modem indépendant, qui est le seul parti nouveau dans le jeu, crée un ensemble de conséquences qui font bouger et réfléchir, qui changent les repères politiques habituels, et c'est tant mieux, c'est pour ça que nous l'avons fait", a conclu M. Bayrou.

Bayrou était à Nîmes afin de soutenir Eric Firoud, candidat du Modem à une cantonale partielle dont le premier tour se déroulera dimanche.

Pauvre Bayrou, que représente-t-il donc aujourd'hui pour estimer pouvoir être instrumentalisé ?

Au PS, c'est tout sauf royal !

Leader mais pas majoritaire au nombre de voix des militants, Ségolène Royal hésite toujours à s’engager pour prendre la direction du Parti Socialiste. Dans le même temps, Benoît Hamon est proche d’un accord avec Martine Aubry et cherche à rallier Bertrand Delanoë. Candidat déclaré, Hamon mise sur la stratégie du Tout sauf Royal au PS
Le Congrès du PS débute aujourd’hui dans l’interrogation. Placée en tête par les militants socialistes, Ségolène Royal estime avoir une certaine “légitimité” pour diriger le parti. Mais avec 29,5% des voix, l’ex-candidate à la présidentielle n’est pas majoritaire au sein du PS et doit se trouver des alliés.

“Tout sauf Ségolène”
Pour rassembler ses rivaux Delanoë, Aubry et Hamon autour d’elle, Ségolène Royal a envoyé à chacun une lettre personnalisée à laquelle elle a joint son projet, amendable par ses destinataires, pour le Parti socialiste. Malheureusement pour la Présidente de la Région Poitou-Charentes, aucun candidat n’a encore déclaré envisager une alliance avec les Royalistes. Pire, un front “Tout sauf Ségolène” semble se dessiner. Benoît Hamon a ainsi annoncé hier matin sur l’antenne d’RTL qu’il était “proche d’un accord politique” avec Martine Aubry. Représentant de l’aile gauche du PS, Hamon refuse tout rapprochement avec Ségolène Royal à cause de sa main tendue au Modem. Bertrand Delanoë, qui s’est lui aussi prononcé contre une alliance avec le parti de François Bayrou, a été approché par Benoît Hamon. “La balle est dans son camp”, précise Hamon.

Royal toujours pas candidate
Invitée au journal de 20 heures sur TF1, Ségolène Royal a laissé planer le doute quant à sa possible candidature au poste de Premier secrétaire, admettant tout de même qu’elle avait “envie” de diriger le Parti socialiste. Sentant les reproches de ses rivaux se cristalliser sur son nom plutôt que sur son projet, Royal pourrait laisser l’un de ses jeunes lieutenants, Vincent Peillon ou Manuel Valls, briguer le poste. Hier matin, Benoît Hamon confirmait qu’il était toujours “candidat au poste de premier secrétaire” et qu'il avait “de bonnes chances de l'être la semaine prochaine”.
Le Congrès pourrait ne pas déboucher sur une synthèse claire si aucun accord n’était conclu lors de la réunion de la commission de résolution dans la nuit de samedi à dimanche. Les prétendants au poste de Premier secrétaire ont jusqu’à samedi pour déposer leur candidature. L’élection par les militants aura lieu jeudi 20 novembre.
Yann Fernandez
La Ségo ne doit en aucun cas passer, elle est trop conne.

jeudi 13 novembre 2008

CE QUE JE DIS !!!!!

Laurence Ferrari donne des sueurs froides à TF1
La remplaçante de Patrick Poivre d’Arvor affronte une brutale chute d’audience. Le programme phare de l’information voit son avance grignotée par le JT de France 2 et les émissions de divertissement.
Drame chez TF1. Ces derniers mois, de plus en plus de fidèles désertent la grand-messe du 20 heures. Surtout depuis l’excommunication du pape de l’info, Patrick Poivre d’Arvor, pendant l’été, et son remplacement par la jeune prêtresse Laurence Ferrari, ancienne suppléante de Claire Chazal. En chaire depuis le 25 août, la nouvelle présentatrice a subi un ultime affront mardi soir: pour la première fois, le JT de TF1 est passé sous la barre fatidique des 30% de parts de marché. Soit à peine 7,4 millions de téléspectateurs réunis quand PPDA en rassemblait encore entre 8,4 et 9 millions au printemps.Pire, l’écart avec le journal de France 2 s’est réduit à un niveau inédit. Seuls en moyenne 8,2 points d’audience de plus depuis deux semaines contre 14,5 points au premier semestre. Il est tentant d’imputer la responsabilité de cette chute au seul changement de présentateur.
D’après Le Canard enchaîné, le nouveau PDG de TF1 Nonce Paolini aurait ainsi estimé, lors d’un séminaire interne, qu’«on n’avait peut-être pas totalement mesuré l’ampleur de l’effet du départ de PPDA». Reste que le 20 heures de Laurence Ferrari pâtit à la fois de la baisse d’audience générale de TF1, avec le lancement de la télévision numérique terrestre, et de la concurrence par le divertissement très relevée à cette heure. Le feuilleton phare de France 3, Plus belle la vie, a ainsi gagné près d’un million de téléspectateurs en un an, et Le Grand Journal de Michel Denisot sur Canal+ atteint les 10% d’audience.

La riposte
La direction de TF1 a déjà tenté de réagir. Tant sur le fond que sur la forme de son JT. D’un côté, les «innovations» de la fin de l’été – plus de sujets internationaux, d’interviews et d’enquêtes – ont été remisées au second plan. De l’autre, l’image même de Laurence Ferrari a été rabotée pour rassurer la ménagère de moins de 50 ans: une lumière plus chaude, une coiffure plus sage, des traits vieillis au maquillage, un tailleur plutôt qu’un t-shirt. S’il entend faire «un premier bilan à la fin de l’année», Jean-Claude Dassier, patron de l’information de TF1, a lui attaqué dans la presse Plus belle la vie, avancé à 20 h 10 en janvier. «En tant que citoyen, je m’interroge: est-ce la vocation du service public de torpiller l’information?» Et Le Grand Journal: «Est-il normal que Canal+ fasse des tranches en clair pour nous concurrencer?»
Bientôt confronté au propre JT de M6 à 19 h 50, il se murmure aussi que la Une raccourcisse sa grand-messe en janvier, pour se caler sur le nouveau prime time du service public, privé de publicité à cette date. Qui sait, Laurence Ferrari y distribuera peut-être encore la bonne parole. 

"Patrick, c'est Laurence. Je voulais te dire que j'aurais dû te rappeler hier. Mais j'ai eu peur... Je te le dis très clairement, très franchement, très sincèrement. J'ai attendu jusqu'au dernier moment qu'on te parle, que quelqu'un te dise les choses, parce qu'en aucun cas ma volonté était de te nuire. Mon choix a été difficile. J'ai beaucoup hésité. J'ai beaucoup attendu. Et puis, à un moment, on m'a mis le couteau sous la gorge. J'ai dû trancher. Je suis à ta disposition, si un jour tu veux qu"on en reparle. Voilà, je ne sais pas quoi te dire d'autre. Je t'embrasse..."

Tel est le bouleversant message qu’aurait laissé Laurence Ferrari sur le téléphone de Patrick Poivre d’Arvor le jour où Nonce Paolini lui a signifié la perte de son fauteuil au 20 heures de TF1, d’après Leparisien.fr. Elle aurait attendu 20 heures, et donc la présentation du journal, histoire d’être certaine que personne ne répondrait.

Dans son livre À demain, en chemin vers ma liberté (demain dans les bacs aux éditions Fayard), PPDA raconte aussi sa réponse à sa remplaçante : « Chère Laurence… Ne t’offusque pas si quelqu’un, un jour, s’avise de te chiper ta place. Comme on le dit avec gourmandise dans notre milieu si confraternel, personne n’est propriétaire de son fauteuil. »
La pauvre Ferrari n'est pas responsable de tout cela, elle a penser réussir un coup médiatique, raté.
Le principal responsable c'est cet abruti de Nonce de mes deux, un type qui n'a rien compris.

VU À LA TV

Quelle ne fut pas ma stupeur de voire J.W. Tsonga à la télévision faire (déjà) de la pub
pour un produit dont Parker vantait les mérites voilà quelques temps.
Comme quoi, il suffit d'avoir failli être champion pour le devenir.
C'est le sport Canada Drie !!!!!!!!!!!!!